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Mercredi (18/10/06)
Pourtant... Pourtant...
Qu'est-ce qui est mieux ?
Avoir de l'intimité et choisir ses lecteurs ?
Ou être mise à nu devant tout le monde, et recevoir plein de visites, et avoir plein de commentaires ?
Rafaelle était partie un temps, voir ailleurs.
Et une subite envie la pousse à revenir ici.
Il y a trop d'elle dans ces pages.
Ou pas assez.
Une surface Rafaelle, et le reste incompréhensible ?
Je voudrais recommencer.
Être celle que j'étais avant.
Ou en fait non.
Je ne veux pas recommencer.
Car on ne recommence jamais.
Je voudrais juste vous avoir encore, tous, mes petits yeux qui me lisaient, mes petits doigts qui saisissaient des petits commentaires sur vos claviers.
Mais....

Ecrit par rafa-elle, à 13:07 dans la rubrique Autre Chose.
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Dimanche (03/09/06)
Le saint patron des crevaisons
J'aimerais bien connaître son nom à celui-là.
Savoir qui il est vraiment.
Explication : cela fait trois fois en deux mois que Quelqu'un ou Quelque chose crève l'un des pneus (toujours le même je crois) de LEUR voiture.
Alors moi, je sais c'est pas bien, je me plais à imaginer que c'est quelqu'un qui le fait volontairement.
Niark niark niark.

Demain ça y est, demain c'est la rentrée.
Y'aura plus l'affectueux sourire de Mme M.
Y'aura plus le rire communicatif de la princesse Eugénie.
Y'aura Ronald (appelé Ronny ou encore Burger (à prononcer Burjé) par Amina) comme prof principal.
Mais y'a aussi des bons côtés : je vais retrouver Amina et son humour décapant, j'aurai à nouveau Nadège comme prof d'espagnol, et puis bon, malgré tout, c'est pas siiii désagréable de se coucher tard après avoir fait ses exercices d'anglais ou d'espagnol, de se lever tôt et d'avoir encore envie de dormir, d'aller au lycée à pied dans la fraîcheur du matin (sauf que mon iPod est mort alors j'espère qu'ils vont vite m'en renvoyer un autre...), d'angoisser un max avant le cours de Ronny, d'être à ramasser à la petite cuillère quand arrivent enfin les vacances...
Ouais, génial, j'ai hâte de retrouver tout ça...
(Hum je ne saurais dire si c'est ironique).

Et puis ben, y'a pas à dire mais, je trouve quand même que j'écris mieux quand je reviens du lycée.

Haha.

Bonne rentrée à tous.
Et Ninou je pense particulièrement à toi.

Ecrit par rafa-elle, à 22:00 dans la rubrique Autre Chose.
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Samedi (02/09/06)
Patrick Star se met à la guitare
-->

Hier j'ai reçu mon sweat noir avec Patrick Star dessiné dessus.
Sur la facture il était écrit Pour ma Marie chérie.
Mon parrain...

Sourire.

Je ne réalise absolument pas que lundi, c'est à dire après demain, c'est la rentrée.
D'habitude la rentrée c'est pas un lundi.
C'est un mardi.
Ou un jeudi.
Voire un vendredi.
Mais un lundi ?!?!!!!
Eurk.

Hier j'ai eu un bond au coeur en voyant des cheveux blonds platines au milieu d'autres crânes de profs.
Mais ce n'était pas Maman.
C'était la plus gentille des profs de maths.

Il parait que le nouveau directeur est super stricte, super catho, qu'il veut remettre la prière le matin et aussi l'uniforme et que DBF sera à nouveau notre surveillant.
Il parait.

J'ai envie d'écrire plein de trucs super beaux, ou qui vous parlent vachement et tout et tout mais... J'y arrive pas.

Hier soir j'étais allongée sur mon lit, avec mon sweat noir Patrick Star et mon pantacourt marron (qui fait en fait pantalon). J'écoutais pas William Sheller mais c'était comme si.
Il était vers minuit.
J'étais bien.
Je somnolais dans une tristesse douce.
Et c'était pas désagréable.
Je me souviens m'être levée, avoir éteint la grande lumière, m'être glissée sous ma couette, avoir éteint la ptite lumière et puis avoir tenté de m'endormir. Toute habillée.
Je me souviens m'être réveillée à 8 heures, puis à 9 heures, puis à 10 heures, d'avoir regardé le ptit téléphone posé sur ma table de nuit et d'avoir lu un message de Sylvaine.
Tiens ?
Et je me suis vaguement souvenue que dans la nuit j'avais attrapé mon portable et que je lui avais écrit un SMS. Mais très vaguement.
Alors j'ai pensé à La science des rêves et j'ai souri.
Son petit Pierre, déjà trois ans, rentre à la maternelle lundi.
Et c'était ça qui m'avait réveillée dans la nuit.
Est-ce que Pierrot va aller à l'école ?
Lubie absurde mais attendrissante.
J'suis pas ce qu'on appelle belle, j'suis pas ce qu'on appelle normale, j'suis même légèrement folle, mais... Mais j'crois qu'au fond j'm'aime bien.

Garfu j'ai adoré ce moment où tu étais allongée sous mon arc-en-ciel, tentant de comprendre, en lisant BIBA comment on faisait pour Passer de fille pas mal à fille canon. Si tu m'avais demandé, j't'aurais répondu de balancer ce magazine parce que s'il y a bien une fille canon sur la planète c'est bien toi.
Et moi avec ma robe blanche déchirée, mon écharpe multicolore autour de la taille, mon haut de maillot de bain bariolé, et mon bâton d'encens qui tournoyait entre mes doigts.
On écoutait quoi déjà ? Ah oui, le live de Camille.
Ceci explique cela.
Camille rend folle.
Ah oui et je t'avais même fait remarquer que j'avais toujours détesté le prénom Camille jusqu'au jour où : j'ai rencontré ma ptite soeur de corazon, j'ai découvert la chanteuse Camille, et où, récemment, j'ai été émue par la Camille de Ensemble c'est tout.

Je joue à l'artiste sur mon bureau rangé.
J'ai acheté ce matin de l'argile qui durcit à l'air.
Alors je m'amuse à modeler ma top model, ça va, j'ai le temps de me perfectionner, si je veux lui offrir le jour de la Sainte Lucie.
Faut que j'apprenne.
Mais allez, un peu de confiance en moi, j'vais y arriver, c'était pas moi qui portait, il n'y a pas si longtemps, un bavoir avec l'inscription Je suis l'oeuvre d'artistes ?

Samedi prochain je suis invitée (et Garfu je t'emmène) à un anniversaire déguisé et le thème c'est les 70's.
Alors Hippie c'est le truc le plus fastoche mais si vous avez des idées pas trop compliquées j'ouvre grand mes oreilles (trop sensibles houhou).




Ecrit par rafa-elle, à 21:49 dans la rubrique Autre Chose.
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Mardi (29/08/06)
"Alors ces vacances ?!?!"
-->

Par où commencer ?
Un mois de juillet muy duro sur beaucoup de points : les gamins sont insupportables, il fait hypra-super-chaud, je m'ennuie à la plage, je mange pas à ma faim,
Mais où tout de même l'ambiance est bonne, les gens gentils, et je suis libre les samedis.
Deux semaines du mois d'août ennuyeuuuses au possible mais calme (c'est le moins qu'on puisse dire...), puis deux autres semaines passées du matin au soir en compagnie d'un petit Jérémie de treize mois qui dort au pied de mon lit, d'une Claudine de 5 ans qui zozotte, d'un Étienne de 7 ans qui bégaye (Claudi-hi-hi-hi-ine faut pas man-han-han-ger de-heu bon-hon-bons a-ha-vant le dî-hi-ner-hé) et qui, je ne sais pas si vous avez déjà joué à ce jeu sur Nitendo DS, ressemble étrangement à un personnage tout droit sorti d'Animal Crossing, d'une Clémence de 9 ans qui me raconte ses rêves le matin et avec qui je m'entends plutôt bien, d'un Papa plutôt gentil et accro à sa femme, et d'une Maman un peu beaucoup snob qui un jour est super affectueuse et l'autre te brise en mille morceaux.
Il y a aussi un grand-père appelé "Daddy" qui, à chaque fois que Jérémie entre dans la pièce où il se trouve, s'exclame "Alors le petit Jérémie !?!?!?".
Les enfants sont obéissants, Jérémie est un petit peu râleur mais très mignon quand même, les parents boivent beaucoup de rosé (enfin je trouve hein, à deux ils en boivent trois bouteilles par jour, est-ce normal ?) (Vous me répondrez "mais qu'est-ce qui est normal ?") (Je répondrais que c'est très juste et que j'y réfléchirai quand j'aurai le temps) (Daddy, lui, préfère le whisky) et sortent beaucoup le soir, et moi, ben, moi le matin je me réveille quand Jérémie pleure au bout de mon lit, je lui change sa couche (parfois orange, parfois verte, parfois jaune... Ce n'est qu'une histoire de couleur, hum) je lui prépare son biberon de lait croissance à la blédine biscuitée, je l'allonge sur le canapé, je lui mets une "serviette" (ET PAS UN BAVOIR (???)), les enfants débarquent, Claudine prend un biberon rempli jusqu'à 240 dans lequel je mets deux cuillères de chocolat en poudre Poulain (et pas de Nesquik non mais), Étienne prend une tartine de ce qu'il y a (confiture, nutella) et un laitâge (j'aime pas ce mot), et Clémence prend une tartine et un verre de lait chaud (40 secondes au fourmi-cro-ondes).
(Si je me suis oubliée c'est normal, je suis la bonniche, et la bonniche n'existe pas).
Ensuite je me fais engueuler parce qu'en habillant Jérémie (une heure et demie ou deux plus tard), je lui change sa couche et qu'il ne faut pas ("Je me demandais aussi comment on avait fait pour user autant de couches en si peu de temps ?!").
Ensuite je me fais engueuler parce que j'oublie parfois de brosser les cheveux de Claudine (à chaque noeud elle se met à pleurer la garce).
Ensuite je me fais engueuler parce qu'il y a des magazines qui trainent sur la table basse.
Ah oui, c'est ça que j'ai oublié de vous dire, ils sont maniacs, je suis bordélique...
J'ai un petit peu de mal à voir le désordre. En fait il ne me dérange pas.
(Vous verriez ma chambre vous vous en rendriez compte de suite).
Enfin bref après je passe les détails parce que je suis sûre que ça vous intéresse moyen toutes leurs habitudes et tout et tout.
Donc voilà, mes "vacances" si on peut appeler ça comme ça.
Je suis sûre que j'ai des tas de trucs à raconter mais là pour l'instant je sors le mauvais.
Après y'aura le bon qui va remonter à la surface, les petits instants uniques.
Ouais ouais ouais, ça devrait pas tarder.
Ecrit par rafa-elle, à 11:05 dans la rubrique Autre Chose.
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Dimanche (13/08/06)
Quand on farfouille bien, on fait des (grandes) découvertes
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Non mais ! Ils (=le monde entier) ne m'avaient même pas prévenue ! Victoria Abril passe à Grand Quevilly le 22 novembre prochain, et William Sheller la suit de près le 5 décembre !
Je suis ravie !


À 4 heures du matin, je me suis réveillée avec une douleur atroce dans l'estomac. J'ai voulu me lever pour aller boire de l'eau ou pour bouger un peu quoi, mais j'ai vacillé dès que j'ai posé le pied par terre. La douleur s'est estompée peu à peu (grâce à l'aide précieuse de William Sheller).
Une heure et demie plus tard, je suis à nouveau réveillée, mais cette fois par un petit cri qui vient de mon bureau. Un petit cri qui ressemble en même temps à un rire. Un petit cri à répétition.
Je reconnais rapidement la voix de Furby. Je me dis qu'il a dû tomber et que ses piles se sont touchées et puis voilà.
Sauf que Furby est bien sage, silencieux, sous mon bureau, le boîtier des piles grand ouvert, comme d'habitude.
Et que le petit cri continue...
Je secoue tout sur mon bureau, mes oreilles embrumées de sommeil ne distinguent pas bien d'où vient ce rire épidermiquement insupportable.
Soudain je me dis que l'inconnu au petit cri n'est peut-être pas caché sous les papiers mais qu'il est peut-être dans ce petit panier rouge où nichent des tas de trucs inutiles depuis des zillions d'années.
J'enfonce ma main dedans, j'attrape une sorte de grosse boule de plastique et le petit cri cesse. Enfin.
Pour ce qui était d'avoir reconnu le cri de Furby, j'avais bien réussi.
Sauf que ça ne venait pas de Furby en lui-même mais de ce petit Yoyo musical que j'avais eu il y a un zillion d'années aussi, à Noël, et qui avait fonctionné trois jours.
Et sur ce yoyo, quatre tout petits Furbys en plastique sourient angéliquement (ouais tu parles).
Alors pourquoi s'est il réveillé justement cette nuit alors qu'il ne fonctionne plus depuis un brave bout de temps ?


En me réveillant (à 11 heures... Après Talons Aiguilles jusqu'à une heure du matin, l'estomac martyr, et les furbys tyrans, fallait que je dorme...) je me suis souvenu que cette nuit il avait beaucoup neigé et que je m'étais trompée de sac en sortant de l'épreuve du bac qui consiste à apprendre à garer une twingo rose car le lycée était devenu un parking à plusieurs étages.


Ici aussi il pleut, et cette nuit, malgré le fait qu'elle fut muy muy agitée, j'étais trop bien sous ma couette douce et rassurante.


Ecrit par rafa-elle, à 12:58 dans la rubrique Autre Chose.
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Samedi (12/08/06)
J'me gênerai pas pour dire que je t'aime encore
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Après deux semaines d'un ennui profond, me revoilà saine et sauve (pour l'instant, car tout peut arriver) pour un peu plus d'une journée à passer à Rouen.
Sur la table, ce foutu papier qui me tord les boyaux, deux lettres d'Italie (à savourer comme il se doit), une carte de félicitations de la plus gentille des profs de maths, et une petite boîte (qu'est-ce que c'est que ça encore ?) dans laquelle repose une paire de lunettes de soleil à la Polnareff (pas aussi belles, mais pas mal quand même) que j'ai gagné en écrivant un mail au magazine "ELLE". Chouette !

J'ai trois ongles longs sur dix. Enfin deux et demi.
J'avais réussi à ne pas (trop) les re-ronger (c'est bizarre mais c'est depuis qu'on est allé à Madrid en avril que cette désagréable habitude tente de revenir sur le bout de mes dents) mais devant Fort Boyard il m'est impossible de ne pas me ronger (un peu) les ongles. C'est trop stressant.

J'ai quand même eu l'audace de me faire une amie sur la plage.
Elle s'appelle Mireille. Moi je dis que c'est une sauterelle mais en fait c'est un criquet.
De mon départ de Narbonne jusqu'à mon arrivée sur la plage d'Erquy (oui en fait ça s'écrit avec QU et pas K. Faut dire que sur Google ils avaient vaguement parlé d'un village qui s'appelait Erky. Enfin peu importe, de toutes façons ce nom est ridicule) je n'avais pas déplié ma serviette de plage. Lorsque je l'ai enfin dépliée (sur la plage de je-ne-sais-quoi), un petit criquet s'est élancé sur le sable, puis est revenu rapido se pelotonner sous mon pull (que j'avais enlevé. C'était l'un des trois jours (sur les quinze) où il a fait beau).
Mireille est rentrée avec nous dans la maison de location, elle a fait de l'escalade sur le mur, sur les rideaux, mais elle est décédée dans la nuit de mercredi 9 à jeudi 10 août.
IL l'a mise dans une petite boîte de pellicule photos pour qu'on fasse son enterrement dans le jardin d'ici.
Voilà l'histoire de Mireille.

Et puis aussi, pour m'occuper, j'ai écrit et dessiné.
En fait, souvent, je commence par écrire. Je suis super enthousiaste et tout et tout.
Et puis vient le moment où les mots à l'encre bleue ou noire m'énervent (pour écrire beaucoup je préfère l'encre virtuelle) et où il me faut absolument (question de vie ou de mort) dessiner une ptite tête.
C'est comme ça qu'est né William.
D'abord au coin d'un morceau de papier, à la terrasse du "Petit Moka" à Narbonne.
Alors, quand j'avais la flemme d'aller me baigner, que j'avais la flemme de tout, que j'étais déprimée et que mon corps était comme anesthésié par le désir omniprésent qui m'envahissait de la pointe des cheveux à la pointe des ongles des orteils, je me disais : Allez ! Bouge-toi ma fille ! Pour William ! Oui ! Je suis sûre que William adorerait sauter dans les vagues !
J'ai trouvé un morceau de charbon. Et des galets bien lisses. Et j'ai dessiné sa ptite tête.
Vous vous direz sûrement "William pour William Sheller !". Et vous n'aurez pas tort.
J'aime bien ce prénom. William.
(Quand j'étais en sixième, pour moi, le plus beau prénom du monde c'était Ulysse. En Cinquième c'était François. En quatrième euh je savais pas trop. En troisième c'était Sylvaine. Et à partir de la Seconde, les quatre plus beaux mots du monde sont devenus "Hélène je vous aime").
Mais attention, William n'est pas William Sheller. William va devenir un être à part. William va quand même beaucoup me ressembler. Mais. Enfin on verra bien.
Pour l'instant, William grandit.

Je voudrais passer la nuit avec toi
À entrouvrir pour une fois
Mes lèvres
Et pas seulement pour t'embrasser
Pour te chanter tout ce que mon coeur contient
Pour te décrypter tout ce qui me vient
Pour te parler enfin
Après toutes ces secondes perdues
Et pour te dire
Tout ce que je n'sais même pas écrire

Ecrit par rafa-elle, à 21:33 dans la rubrique Autre Chose.
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Vendredi (28/07/06)
Après les cigales, à moi les goélands !
Je suis rentrée hier soir de Narbonne, et je repars demain à (attendez je cherche sur Google l'orthographe du dit trou paumé) Erky, pour 15 jours avec EUX.
Bon en même temps ça risque de me reposer un peu, parce que Paul et Vincent, appelés aussi Linda et Raymunda, sont de vraies tornades.
Je suis épuisée, et contente d'être rentrée.
Sauf que j'ai pas vraiment le temps de profiter de ma chambre, et de mon jouebtty§tyyyyyyyyyyyy§§§§§§y(y§§§§§§§§§§§§§§ (y'avait un truc coincé entre le t le ( le § et le y. Désolée.
Je suis sûre que j'ai plein d'épisodes à vous raconter, mais là, bizarrement, ça sort pas. Non, je ne me souviens de rien.
Bon là je vais nourrir mon iPod de nouvelles (ou pas si nouvelles mais pas écoutées depuis longtemps) chansons pour ne pas m'ennuyer pendant le voyage.
Peut-être à bientôt, je n'en sais rien du tout.
En tout cas je pense fort à vous tous !

Votre Rafilet de pêche (il est de Ninou, pas mal, hein ?

Ecrit par rafa-elle, à 09:49 dans la rubrique Autre Chose.
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Samedi (08/07/06)
Juste une envie comme ça
--> ;)


elle est un peu penchée, mais c'est parce que je sais que mes dents te font tourner la tête :D

 
Ecrit par rafa-elle, à 10:24 dans la rubrique Autre Chose.
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Mardi (27/06/06)
Merci
--> À vous tous aussi. En ce moment quand j'écris ici, j'ai l'envie de vous remercier à la fin de mes articles parce que vous m'apportez beaucoup avec tous vos ptits mots. Alors merci.

Pétris-moi les hanches de baisers
Je deviens la femme chocolat
Laisse fondre mes hanches Nutella
Le sang qui coule en moi c'est du chocolat chaud...


Pourtant tu préfères le salé, je le sais. Mais j'aime quand même beaucoup cette chanson.
Moi je veux bien être ta femme tortilla, ta femme guacamole, ta femme chorizo, ta femme piment, ta femme poivron, ta femme salée...
Moi je veux bien que tu me dévores.

Tu n'aimes pas vraiment les chewing-gums. Mais j'en ai trouvé à la pastèque.
Cela ne te rappelle rien ?

Elle ne dit rien tandis qu'elle
s'abattait sur lui comme un animal affamé,
et il n'aurait pas su qui c'était s'il n'y avait
pas eu le goût de son chewing-gum à la
pastèque, qu'il se retrouva entrain de
mâcher après les premiers baisers
torrides. Elle ne portait plus son pantalon
mais une chemise de nuit en flanelle. Ses
pieds, mouillés par la rosée, sentaient les
prés.




Drôle d'ambiance lors de ce dernier spectacle.
Personne n'a vraiment la tête à ça.
Nos spectateurs n'ont pas forcément choisi d'être là.
Mais bon...

Ce qui est bien, c'est qu'au fond de l'amphithéâtre, précisément à droite, se trouve, assise sur les marches, la sirène. Qui sait désormais qu'elle est une sirène.
Et ça c'est bien parce qu'elle n'avait pas pu venir lors des vraies représentations.
Et que, même si le meilleur du spectacle n'est pas vraiment montré aujourd'hui, elle en aura quand même eu un aperçu.

Christine est assise sur ce siège vert.
Je m'installe à côté d'elle et lui murmure quelques mots. Et elle répond Ce Qu'il Faut Dire. Et même mieux. J'aurais presque envie de pleurer. D'émotion. Un mélange de joie et de tristesse. Ce sentiment qui me tord souvent le ventre.

Alors je lui dis merci.
Oui, moi aussi je lui dis merci.


Le bellissimo comme elle l'appelle, a enfin embrassé sa fille (la vraie). Il n'osait plus rentrer dans sa classe après. Il lui a demandé si elle lui en voulait.
Elle a dit qu'elle ne voyait pas pourquoi.
Que seul le bonheur de sa fille lui importait.

Si elle est heureuse alors moi je suis heureuse. C'est ça être une môman. Se réjouir du bonheur des autres.
Je murmure un vague Oui. Parce que je suis d'accord. Mais que...
Et puis je sors. Dans le couloir.
Je monte les escaliers.
J'embrasse Son joli petit visage qui est toujours là, sur cette photo.
Je me penche pour regarder le siège gris.
J'essaye d'imaginer encore juste une seconde qu'Elle sera assise dessus, et qu'Elle va me sourire.
Et que je vais ouvrir la porte, et rentrer. Et ne rien Lui dire. Juste la regarder travailler. La regarder.
L'écriture sur les Post-it n'est plus là même. Sur les livres nouveaux et les journaux non plus.
Alors je tombe de mon petit nuage, non, Elle n'est pas là. D'ailleurs c'est vide ici.
Tout cela appartient au passé. Tout cela est terminé.
Mais il est normal que j'y repense.


J'ai quatre sacs énormes à remporter, et surtout mon miroir, dont je me suis privée depuis plus d'un mois. Pour une narcissique comme moi c'est un vrai sacrifice. Haha.

Que vais-je choisir ? Riz gluant ou nouilles sautées ?
Terrible dilemme.
La réponse demain.



Ecrit par rafa-elle, à 19:11 dans la rubrique Autre Chose.
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Lundi (26/06/06)
Je t'aime
-->

J'aime bien aller chez Garfu.
J'adore appuyer sur la sonnette et me demander si quelqu'un m'a entendue.
J'adore toutes les plantes et les fleurs grâce auxquelles on se croirait presque ailleurs, pas à Rouen, mais limite dans la jungle.
J'adore rester là à attendre qu'elle arrive, à attendre de voir ses longs cheveux arriver au loin, son t-shirt souvent coloré, son jean, et ses pieds dans de trop grandes chaussures qu'elle a piquées à son père.

Les trottoirs, le silence, la pluie, les rues, et ce film boulversant. Tout cela donne vraiment envie de retourner à Paris.
J'y passe une heure vendredi prochain. C'est déjà bien.
Ces histoires évanescentes, éphémères, fugaces, dont la fin me surprend parfois.
Tu te laisses envahir par une ambiance particulière, tu es pris au piège par Fanny Ardant, tu tombes amoureux de Natalie Portman, tu reconnais des acteurs que tu adores, que tu n'as vus que dans un seul petit film qui t'avait beaucoup touché et que jamais plus tu n'avais revus.
Alors sur le retour je me mets à imaginer mon Paris je t'aime à moi, et je suis presque contente finalement de n'avoir pas vu le mot Ternes apparaître dans le film.
Car ce mot là je le garde pour moi, il constitue (pour l'instant) la plus importante des facettes de mon Paris à moi.

Ce qui me perturbe c'est que je suis un peu obligée de dire "Je t'aime" au monsieur derrière le guichet à qui je viens acheter ma place.
Alors je le dis très vite, ou sur un ton détaché, je ne sais plus...
Mais ce que je sais c'est que je suis sortie enchantée de cette salle numéro 7.

Et que c'est à toi mon Amour que j'ai pensé, en voyant tous ces coeurs se lier.
Ecrit par rafa-elle, à 09:31 dans la rubrique Autre Chose.
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